Dès son arrivée à Paris, il participe à la Société Africaine de Culture.
En 1960, fondateur avec Paul Niger du Front Antillo-Guyanais pour l'Autonomie, il milite contre le système colonial et le gouvernement français l'assigne à résidence en France métropolitaine.
Il devient vice-président du Parlement International des Ecrivains (1994), organisme dont le but est de défendre la liberté de création et qui pour ce faire, a instauré un réseau de Villes Refuges pour les intellectuels menacés.